le sable noir fut versé sur nos yeux
quand le tigre pleurait
comme un incendie rayé de vies humaines
comment avez-vous osé rompre le cyprès
pour en faire
un bâton
cherchiez-vous une senteur au-delà
de la mort aux mains immaculées
départ
nous sommes des oubliantes
des âmes fracassées
comme des tessons d’oiseaux vers une chaleur
inconnue
ici le soleil a refusé le visage
humain