un jour, ane malheureuxe vit une fleur à ses pieds : « une fleur en enfer ! pensa-t-iel. voilà bien quelque chose d’étonnant ! les flammes et les démonz l’ont-ols donc épargnée ? »
plus tard, iel entendit un oiseau qui chantait. « qu’a-t-il à chanter en enfer ? », pensa-t-iel. et iel décida d’aller interroger l’oiseau : « pourquoi chantes-tu en enfer ? » l’oiseau ne répondit pas et continua de chanter.
quelques temps plus tard, lae malheureuxe vit le ciel au-dessus de sa tête. « nom de nom ! une fleur, je veux bien… un oiseau, passe encore ! mais le ciel, que fait-il en enfer ? »
iel s’interrogeait ainsi quand iel vit soudain ane enfant passer en jouant et riant. « impossible que je sois en enfer ! pensa-t-iel. une fleur, je veux bien. un oiseau, passe encore ! et le ciel, cela m’étonne bien, mais après tout, pourquoi pas ? mais ane enfant qui rit et qui joue en enfer ! cela ne s’est jamais vu. »
iel continuait ainsi à se creuser la tête quand saon adelphe aînae s’approcha d’ellui : « grandx nigaudx, qu’as-tu à rêvasser ? va étendre le linge ! et n’oublie pas de laver les toilettes ! c’est ton tour ! »
alors, l’adelphe cadetx comprit qu’iel était sur terre, nulle part ailleurs. s’iel s’en réjouit ou non, le conte ne le dit pas ; car il s’achève ici.